Le dos au mur

Le dos au mur s’inspire de ces hommes et de ces femmes que nous avons rencontrés, de leur parcours judiciaire et de la recherche conjointe avec nos partenaires institutionnels, spécialisés dans l’accompagnement des hommes auteurs et des femmes victimes…

Happenings

Du Théâtre pour libérer la parole sur le harcèlement de rue Et vous, seriez-vous intervenu devant une scène de harcèlement ? Toutes les femmes ont vécu cette mauvaise expérience au moins une fois dans leur vie. Le harcèlement de rue est bien présent au quotidien. Et sans intervention peut parfois, aller loin. C’est pour ça que Le Lien Théâtre propose des interventions artistiques dans de nombreux quartiers stratégiques de la ville. Objectifs visés Libérer la parole sur le harcèlement de rue, Sensibiliser la population masculine, Déclencher des réactions spontanées et créatives de la part des spectateurs, Renforcer le pouvoir d’agir à travers …

Sois belle et tais-toi

Les relations amoureuses ne ressemblent pas toujours aux contes de fées et la descente au cauchemar est une pente glissante… Sois belle et tais-toi dissèque ce tourbillon de violence qui détruit tant de femmes et détaille l’évolution historique des violences faites aux femmes depuis le Moyen Âge.

La mêlée

L’image qu’on a des jeunes est qu’ils sont de plus en plus violents. Aujourd’hui l’adulte semble avoir de plus en plus peur de l’adolescent ; aujourd’hui les adultes entre eux, parents, enseignants, ainés dans la rue, semblent être dans un discrédit mutuel et manquent de cohérence face aux jeunes. Le problème est toujours chez l’autre… Chronique de classe, La Mêlée est aussi un cri, un appel à la solidarité pour s’en sortir.  

L’ascenseur

« Putain, mais qui s’amuse à nous mettre les uns contre les autres, à nous différencier, à nous séparer comme ça les uns des autres ? » C’est Nicholas qui lance ces questions dans le texte, mais elles pourraient tout autant être posées par Djamal, Alyona, Samuel, Sallimata ou Kassim. L’ascenseur, comme de nombreux textes du Lien Théâtre, interroge les rapports de force, les relations de pouvoir. L’Ascenseur, c’est la possibilité de rencontres qui nous permet de rêver à une détente collective et à une métamorphose de notre liberté.

T’es pas mon genre

Quelle est la part de consentement dans la rencontre et le désir de l’autre ? La mise en scène souligne le trouble des personnages et le danger qui les guette. Au-delà des stéréotypes, des préjugés, du poids de l’image dans notre société, T’es pas mon genre pose la question : comment devenir soi-même, comment se rencontrer et rencontrer l’autre ?